La route de Saint-Jacques qui, dès le XIe siècle, longeait la côte d'étang en étang, devait être aussi redoutée des pèlerins que celle qui traversait les Grandes Landes. « Un pays désolé où l'on manque de tout » dit des Landes de Gascogne le Guide du Pèlerin, œuvre de la première moitié du XIIe siècle.» (Papy Louis. Le «désert landais». In : Revue géographique des Pyrénées et du Sud-Ouest, tome 44, fascicule 2-3, 1973.Landes de Gascogne. pp. 129-149)
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